La grande majorité des particuliers n’a pas la chance de percevoir un salaire élevé chaque mois pour se permettre de financer des projets personnels. Heureusement, les établissements de crédit mettent à la disposition de tout le monde des prêts à la consommation pour leur offrir l'opportunité de réaliser leurs entreprises. Ils se déclinent en deux grandes catégories à savoir les crédits affectés et non affectés. Plusieurs raisons peuvent inciter les gens à opter pour l’un ou pour l’autre.

Souscrire un prêt personnel pour ses projets pourquoi ?

La grande majorité des particuliers n’a pas la chance de percevoir un salaire élevé chaque mois pour se permettre de financer des projets personnels. Heureusement, les établissements de crédit mettent à la disposition de tout le monde des prêts à la consommation pour leur offrir l’opportunité de réaliser leurs entreprises. Ils se déclinent en deux grandes catégories à savoir les crédits affectés et non affectés. Plusieurs raisons peuvent inciter les gens à opter pour l’un ou pour l’autre. En ce qui concerne la deuxième proposition, elle est plébiscitée par les utilisateurs pour sa flexibilité. Voyons de plus près, pourquoi souscrire un prêt personnel plutôt qu’un autre.

Prêt personnel : pour une plus grande liberté

D’emblée, il convient de rappeler que le prêt personnel est une des formes du crédit à la consommation. Il permet à un particulier de bénéficier d’obtenir un financement pour son projet à hauteur de 200 à 75000 euros. Il peut être contracté pour une durée allant de 3 à 84 mois.

Son plus grand avantage est la liberté offerte à l’emprunteur pour l’utilisation des fonds mis à sa disposition. Il permet notamment de financer divers projets, mais aussi de faire face à des besoins de trésorerie. Vous n’aurez pas alors à puiser dans votre épargne. Il peut entre autres servir à :

  • Acquérir une voiture neuve ou d’occasion,
  • Payer un voyage, un événement familial, l’achat d’équipement,
  • Réaliser des travaux de rénovation ou d’aménagement.

Aucune justification à fournir

L’une des raisons qui incitent les particuliers à souscrire un prêt personnel est qu’il n’est pas tenu de justifier ses dépenses. Étant donné qu’il n’est affecté à aucun achat, l’emprunteur n’a pas à fournir de factures ni autres documents concernant ses acquisitions. La seule obligation qui lui est faite est de rembourser son prêt avec les intérêts.

Les projets que l’on ne peut pas financer avec un prêt personnel sont la construction ou l’achat d‘un bien immobilier. Pour ce faire, il faudra souscrire un crédit immobilier.

Des conditions d’obtention plus souples

Pour bénéficier de ce type de prêt, les candidats au crédit doivent seulement avoir la majorité et être solvables. Il n’est pas nécessaire de motiver sa demande. La deuxième condition exige toutefois d’avoir une situation professionnelle et financière stable. Cela signifie qu’il faut au moins être titulaire d’un CDI ou d’un statut de fonctionnaire. C’est une assurance pour les banques que vous percevez un salaire régulier. Les travailleurs en CDD peuvent aussi y prétendre, mais sous certaines conditions. La sécurité de l’emploi est un critère déterminant pour l’obtention d’un prêt personnel.

L’emprunteur doit également avoir un taux d’endettement raisonnable. Il ne doit pas dépasser les 33 % de son salaire. Au-delà de ce seuil, il est difficile de se voir accorder un crédit. La seule exception est que vous percevez un revenu élevé et par conséquent un reste à vivre plus important.

Possibilité d’un remboursement anticipé

Il faut savoir que même si un prêt personnel a été souscrit pour une certaine durée, il peut tout de même être remboursé par anticipation. Vous pouvez le faire partiellement ou en totalité. En vertu de l’article L311-29 du code de la communication, les banques n’ont pas le droit de s’opposer à cette faculté offerte aux emprunteurs.

Généralement, le remboursement anticipé ne donne lieu à aucune pénalité. Il existe toutefois des cas où les organismes prêteurs peuvent en exiger. Il en est ainsi lorsque l’opération s’élève à plus de 10 000 euros. Elle serait alors de 1% du montant du prêt personnel s’il reste encore plus d’une année avant la fin du contrat. S’il est inférieur à un an, l’indemnité passe à 0,5%.